Au détour de tes recherches ou des réseaux sociaux, tu es peut-être tombé·e sur des méthodes ou des outils qui ressemblent à la Méta®, mais qui portent un autre nom. Tu es peut-être resté·e perplexe ou dans la confusion : d’où viennent ces outils ? Est-ce que la Méta® vient de là ? Est-ce que ces outils sont issus de la Méta® ? Est-ce que toutes ces personnes se sont formées au même endroit ?
Tu n’es pas seul·e dans ce cas : nous recevons chaque année de nombreux messages de gens qui se posent des questions. Cet article s’adresse particulièrement à eux ainsi qu’à toutes les personnes qui veulent avoir une vision claire des origines de ces outils et comprendre ce qui entretient la confusion.
Dans cet article, je vais faire un petit récap’ sur l’histoire de la Méta®, puis je te donnerai des détails sur comment elle a évolué et ce qui s’est créé autour de son développement.
Je te préviens dès maintenant : ce qui compte pour moi c’est la transparence, pas le maintien des apparences.
La Méta®
Un outil pour apprendre à reconnaître son essence profonde
Avant de se pencher sur comment la Méta® est née puis a évolué, revenons d’abord sur ce que c’est.
La Méta® est un outil de connaissance de soi, de reconnaissance de ses talents et de sa singularité. Elle fait le lien entre ton apparence physique naturelle innée (ton corps et sa structure, la consistance de son énergie et la lumière naturelle qu’il émet) et ton essence : la personne que tu es fondamentalement.
Ton corps n’est pas le fruit du hasard : il traduit en formes, en textures et en couleurs ce que tu es intérieurement. En observant finement ton apparence physique avec la Méta® comme grille de lecture, tu as accès à une mine d’informations sur tes talents, tes fonctionnements naturels et tes besoins profonds —ton mode d’emploi, en somme ! Tu peux également connaître une fois pour toutes les vêtements qui te vont vraiment, te permettent de rayonner tout en étant à l’aise en toutes circonstances et de te montrer tel·le que tu es profondément.

Cet outil rassemble des enseignements simples et sacrés sur l’être humain qui transforment la relation à soi, aux autres et au monde en rendant visibles et disponibles les dons, les qualités et les talents de chacun.
Comment la Méta® est née
La Méta® n’est pas un outil qui a été créé par esprit d’innovation ou pour répondre à un besoin. Je ne me suis pas réveillée un matin en me disant “allez, je vais créer une méthode !”. Elle n’est pas non plus issue de la demande formulée de personnes qui auraient ressenti un besoin ou un manque à cet endroit-là.
Non, la Méta® s’est construite dans le temps, en prenant racine dans l’amour de la réalité telle qu’elle est et dans le plaisir de l’observation de la nature et de la nature humaine.
Voici maintenant une petite rétrospective sur l’histoire de la Méta® :
- 1998 : Adolescente, je découvre ce qu’on appelle la coloranalyse, lors d’un stage animé par Nathalie Gouret, psychothérapeute. Cette découverte arrive comme un électrochoc et donne tout son sens à ma jeunesse, particulièrement contemplative.
- 2003 : Après 5 ans d’intégration silencieuse de mon côté, Nathalie me transmet ses connaissances et son savoir-faire. Je l’assiste lors de nos premiers stages de coloranalyse ensemble et, progressivement, nous animons ces stages à deux.
- 2006 : Après plusieurs stages, nous nous rendons compte que la couleur n’est que l’une des 3 composantes énergétiques d’un vêtement. Nous commençons des recherches pour percer le mystère du lien entre l’apparence et l’essence. Nathalie apporte ses connaissances symboliques et psychologiques, moi ma compréhension intuitive et incarnée des éléments, ainsi que des moyens concrets pour effectuer des tests.
- 2007 : La Méthode des Psycho-Apparences® voit le jour : le premier stage-test est un succès. Une première formation professionnelle démarre rapidement.
- 2011 : Je prends la responsabilité du développement et de la diffusion de la méthode et décide d’en faire mon unique activité professionnelle : je suis maintenant la seule à l’utiliser et l’enseigner.
- 2013 : Après plusieurs années de pratique, l’outil s’est affiné. Je crée la Métamorphose®, qui s’inscrit dans la continuité de la Méthode des Psycho-Apparences® tout en s’enrichissant de mes recherches personnelles.
- 2015 : Nathalie quitte son rôle de mentor et se désolidarise : nous n’avons pas la même vision concernant le déploiement de cet outil. Par ailleurs, les résultats des élèves de formation ne sont pas au rendez-vous : accompagner est un métier, transmettre des compétences en est un autre ! Je lance une grande mise à jour de ma pédagogie et crée mon équipe.
- 2017 : Le livre Révélez-vous — votre garde-robe peut changer votre vie sort aux Éditions Marie Claire. Il pose les bases de la Métamorphose®.
- 2018 : Après un gros travail de fond, la formation évolue radicalement et les résultats des élèves aussi : la transition du métier d’accompagnante à celui de formatrice est réussie. Mon équipe s’agrandit.
- 2019 : La Métamorphose® devient la Méta® —c’est le petit nom que tout le monde lui donne déjà ! Méta est un préfixe qui provient du grec μετά (après, au-delà de, avec). Il exprime à la fois la réflexion, le changement, le fait d’aller au-delà, à côté de, entre ou avec.
- 2020 : Pour nettoyer la Méta® d’interprétations erronées et de projections inhérentes à la création d’un outil aussi subtil, l’équipe entame une refonte de la méthode. C’est un énorme travail en profondeur qui commence.
- 2022 : La Méta® fait peau neuve : elle gagne en précision et en finesse. Nos clients et élèves vont plus vite et plus loin avec cet outil. La justesse a un goût de satisfaction !
Les origines
Comme tu le vois, cet outil est issu du travail de deux personnes : Nathalie et moi. Il s’inscrit dans la lignée :
- de recherches commencées au Moyen-Âge par les alchimistes, dans leur observation et analyse des 4 éléments,
- des travaux de Goethe sur la lumière et les couleurs au début du 19ème siècle,
- des travaux de Johannes Itten, sur les couleurs et leurs énergies au début du 20ème siècle,
- du travail de Carole Jackson, dans les années 80, qui a concrètement montré le lien entre les 4 saisons et notre rayonnement lumineux.
Nous n’avons pas suivi d’enseignement ou de formation particulière pour arriver à la création de cette méthode : nous sommes parties de quelque chose qui existait pour l’approfondir et le faire aboutir.
Par la suite, le chemin de Nathalie et le mien ont divergé. J’affine cet outil et le développe seule depuis 2015. Si la Méta® est dans le prolongement de ce que nous avons fait ensemble à l’époque, elle n’en est pas moins ma création.
Si aujourd’hui, tu découvres le travail d’une personne qui fait quelque chose qui ressemble fortement à la Méta®, c’est qu’elle s’est formée avec nous ou avec l’une de nous, à un moment ou à un autre.

Ce qui entretient la confusion, c’est que certaines personnes sont visibles et communiquent largement sur leur travail, qui ressemble donc à la Méta®, mais n’affichent pas clairement leur parcours voire en cachent une partie, pour des raisons que j’ignore. Il y en a une en particulier, et c’est d’elle dont nous allons parler maintenant.
Ça ressemble à la Méta®
Ces dernières années, on m’a régulièrement demandé : “Tu connais Youmna Tarazi ?”
Si je la connais ? Comment pourrais-je ne pas la connaître, alors qu’elle a suivi 4 stages avec moi, puis une formation sur 9 mois, le tout en présentiel ?
Mais j’ai rapidement compris pourquoi cette question revenait : cela n’apparaît nulle part, ou presque.
Ce qui est communiqué publiquement de son côté, c’est qu’elle a suivi un stage avec moi. Ce qui est faux. Mais les gens me posent la question parce qu’en cherchant sur son site ou en écoutant ses vidéos, ils ont du mal à trouver l’information. Alors la voici.
Pourquoi se taire ?
Youmna a découvert ce qui s’appelait alors la Méthode des Psycho-Apparences® sur un stand que je tenais, dans un salon bien-être à Paris, en 2011. Elle s’est immédiatement inscrite à la série de stages que je proposais pour découvrir l’ensemble de son profil, puis a suivi ma formation professionnelle.
Quelques années plus tard, après des tentatives maladroites de ma part pour structurer et encadrer juridiquement l’utilisation de la méthode, elle a coupé la communication.
Aujourd’hui il semble que cette partie de son parcours ne soit pas affichée —on m’a même demandé plusieurs fois si c’est elle qui m’avait formée. LOL.
Je n’ai pas de problème à ce que mon outil soit utilisé par d’autres, au contraire : j’ai créé une formation pour le transmettre et je continue, chaque année, à enseigner la Méta® aux personnes qui pourront l’utiliser professionnellement, ensuite —qu’elles le fassent dans le cadre de Méta Wonderland en tant qu’Expertes Méta®, ou en dehors.
La question qu’on me pose souvent, par contre, et à laquelle je n’ai pas de réponse, c’est pourquoi ne pas dire simplement la vérité ?

Plusieurs personnes ont mentionné mon nom dans ses webinaires, alors qu’elle parlait de son parcours, et se sont fait éjecter du webinaire. D’autres personnes commentent ses publications et parlent de moi, mais leurs commentaires sont supprimés.
Que ce soit clair : ce n’est pas moi qui demande à qui que ce soit d’aller le faire, j’ai autre chose à faire que de missionner des personnes pour ce genre de choses. Ce sont les personnes qui, étonnées de ne pas voir mon nom figurer dans l’énoncé de son parcours, le rajoutent, puis sont choquées de se voir censurées.
La vérité est une valeur chère à mon coeur. Tout au long de mon parcours d’accompagnante, de formatrice et d’entrepreneuse, j’ai dû faire face à des situations très difficiles où la qualité de mon travail était directement mise en cause, notamment sur le plan pédagogique. Je me suis pris pas mal de claques (salutaires !).
La vérité, une valeur fondamentale
En 2015, j’ai pris un gros virage qui m’a permis de mettre le doigt sur tous les endroits où je limitais la progression de mes élèves et de mes clients. À partir de ce moment-là et à maintes reprises, je me suis sentie absolument nulle, humiliée et ayant trahi les personnes qui m’avaient fait confiance : je ne leur avais pas amené la qualité sur laquelle je m’étais engagée.
Non pas que je n’avais pas donné le meilleur de moi-même au moment de notre travail ensemble mais je comprenais, a posteriori, des éléments fondamentaux de ma posture et de mon enseignement qui avaient tout simplement bloqué l’acquisition de compétences de mes élèves, ou l’intégration de mes clients.
Ces moments particuliers m’ont demandé de choisir entre la vérité et la facilité. Mon choix a été facile ! LOL.
Choisir la vérité, ça signifie mettre son orgueil à la poubelle, reconnaître ses erreurs, faire des propositions pour les réparer et continuer d’avancer. Ce que j’ai fait.

Choisir la vérité ne peut pas se faire en même temps qu’un autre choix. On ne peut pas choisir la vérité et la facilité, par exemple : parce que la vérité ne sera pas toujours facile, ces deux choix ne sont pas compatibles.
Même chose avec le confort, le plaisir ou la joie : que se passe-t-il lorsque la vérité est inconfortable, gênante ou génère de la tristesse ?
Et c’est finalement la même chose pour tout : choisir la vérité, c’est un choix qui exclut tous les autres.
Cette période a été pour moi très intense mais elle m’aura aussi permis de reconnaître que la vérité fait partie de mes valeurs profondes, de ce qui est aux racines de la Méta® et de Méta Wonderland.
C’est à partir de ce moment-là que j’ai entrepris un travail énorme sur notre pédagogie, notre façon de transmettre la Méta®, puis dernièrement sur la Méta® en elle-même, pour la nettoyer de résidus d’ego et de projections, qui sont inhérents à la création d’un outil de connaissance de soi.
Ce travail colossal a pris des années car il m’a demandé de faire ce ménage personnellement en même temps que je le faisais pour la méthode : on ne crée pas quelque chose de propre avec les mains sales.
Et ce travail est toujours en cours : tant que je serai vivante, je continuerai à explorer l’humain et à observer tout ce qui vient se mettre entre moi et la réalité et m’empêche de m’en saisir pleinement. Il n’y a qu’avec ce niveau d’exigence et de détermination qu’on peut espérer atteindre la vérité.
Ce qui n’est pas dit se voit
Fin début 2014, début 2015, c’est à ce moment-là que j’ai commencé à parler de vérité dans ma communication : choisir la vérité était devenu mon slogan, je l’avais affiché sur mon site.

La baseline (la petite phrase sous le slogan) a évolué avec le temps, mais le logo restait le même.
Je dois avouer que le jour où j’ai découvert le logo de Youmna pour son projet, quelques années après, j’ai été surprise : il ressemblait étrangement à ce que j’avais créé pour ce slogan.
Voici mon logo et le sien, l’un sur l’autre :

Bon, dans le domaine de la création visuelle et de la propriété intellectuelle, les frontières sont toujours assez fines. Il est difficile de pouvoir dire d’où vient une idée et donc, il est impossible d’affirmer qu’une inspiration vient d’une source unique et identifiable, à moins que le lien de parenté soit vraiment flagrant.
Ce n’est pas de la Méta®
Je ne vous jette pas la pierre, Pierre
Alors parler de tout ça ici, ouvertement, c’est pas évident : je sais déjà qu’on va me reprocher d’être dans le jugement ou la médisance.
Ce serait vrai si d’une part mon objectif était de nuire et si, d’autre part, je partageais uniquement un avis (donc subjectif) négatif sur une personne.
Or ce n’est pas le cas : ce que je fais ici, avec cet article, c’est que je rassemble des éléments factuels pour permettre aux personnes qui se posent des questions et qui cherchent des explications, de trouver des réponses.
Si les éléments que j’amène et si les faits que je rapporte semblent porter préjudice, je n’en suis pas responsable : moi je suis responsable de ce que j’ai fait et dit, et de ce que je fais et dis aujourd’hui, c’est tout.
Dire les choses, parler ouvertement et simplement des faits, nommer la réalité pour donner accès à la vérité est une nécessité car c’est le seul moyen de grandir en conscience.
C’est ce que je m’emploie à faire quotidiennement dans ma vie personnelle ainsi qu’à Méta Wonderland, il est donc naturel que je le fasse ici aussi.
La vérité sur mon ressenti
Je sais qu’on va aussi, probablement, me dire que je suis jalouse, d’autant que je ne cite qu’une personne ici, donc ça pourrait ressembler à une attaque personnelle.
En fait, je ne parle que d’une personne ici parce qu’on ne nous pose jamais la question de l’origine ou du lien entre nous, concernant d’autres personnes que j’ai formées par le passé… parce que les autres sont transparentes sur leur parcours. C’est simple.
Et sinon pour être franche, jalouse, je l’ai été. Ça remonte, maintenant, mais Youmna et moi étions encore en contact à l’époque et je lui avais dit.
Effectivement, voir une personne que j’ai formée être visible partout, plus que moi, entendre des gens parler d’elle, la voir vendre des stages, des programmes et des formations à tour de bras, apparaître dans des podcasts, des vidéos et des sommets en veux-tu en voilà, ça m’a fait me sentir nulle, pendant longtemps.
Je me trouvais incapable de me rendre visible, de porter la Méta® à la hauteur de ce qu’il fallait, mauvaise en marketing et en communication, comme si je n’avais pas l’énergie pour en faire autant.
En même temps, si je regarde où j’ai mis mon énergie ces dernières années, il est normal que les résultats que j’ai ne soient pas les mêmes.
Ces dernières années, je me suis concentrée sur le nettoyage de cette méthode et de notre pédagogie, pour permettre à nos élèves et clients d’en extraire davantage de bénéfices. Je n’ai pas mis mon énergie dans le déploiement et la visibilité, j’ai fait un choix.

J’ai aussi pris conscience très nettement que mon fonctionnement est celui d’une chercheuse qui approfondit et qui crée un point d’ancrage pour la vérité mise à jour, pas celui de quelqu’un qui parcourt le monde pour répandre ses découvertes.
Ce qui m’a permis de continuer à avancer en maintenant mon cap, malgré ce regard dévalorisant que j’ai porté sur mon travail pendant un moment, c’est de réaliser, toujours un peu plus, que nous n’allons pas dans la même direction et que ce qui ressemble au succès pour elle, ne correspond pas au succès pour moi.
Pourquoi je dis que Youmna et moi n’allons pas dans la même direction ? Eh bien parce que ce qui motive et nourrit nos actions à Méta Wonderland, c’est la vérité, la justesse, l’alignement, la considération et l’exigence, entre autres. C’est ce qui a motivé tout ce que nous avons fait ces dernières années.
Le succès, pour moi, c’est de m’approcher toujours plus près de la vérité, de toujours mieux comprendre le fonctionnement humain à travers le prisme de la Méta® et d’emmener nos élèves et clients toucher la beauté de leur essence pour de vrai. Nous y sommes déjà.
“It is the quality of one’s convictions that determines success, not the number of followers.”
Remus Lupin, in Harry Potter and the Deathly Hallows – Part 2
Si la vérité, la justesse, l’alignement, la considération et l’exigence étaient des moteurs pour elle, comment expliquer :
- qu’il existe toujours un flou artistique dans sa communication sur les origines de sa méthode ?
- que les personnes qui l’ont contactée après avoir observé une erreur dans l’analyse de leur profil, se soient senties mises de côté et jugées ?
- qu’elle-même ne suit pas les recommandations vestimentaires qu’elle propose à ses clientes ?
- qu’il y ait des erreurs de profil chez beaucoup de membres de son équipe pédagogique ?
- qu’elle n’ait pas vu ou senti que son profil n’est pas celui qu’elle pense avoir ?
Ce sont des questions que de nombreuses personnes m’ont posées.
Attention, je ne suis pas en train de dire que faire des erreurs est inadmissible. J’en ai déjà parlé et j’en reparlerai : c’est l’attitude face aux erreurs éventuelles, qui est intéressante à observer et qui en dit long sur la posture professionnelle.
Moi-même, j’ai fait des erreurs (je me suis d’ailleurs trompée sur une composante de son profil) et je continuerai probablement à en faire, seulement :
- j’en fais de moins en moins parce que j’ai compris ce qui rend le terrain favorable aux erreurs et donc comment les éviter ;
- lorsque je fais une erreur, même quand ça pique, je préfère toujours la reconnaître et en assumer les conséquences.
Ça n’a pas toujours été comme ça : choisir la vérité, c’est noble sur le papier mais quand les situations concrètes s’invitent dans le quotidien et nous mettent face à nos choix, c’est une autre paire de manches. J’ai dû apprendre à agir en alignement avec ce choix, situation après situation. Ça n’a pas été facile, ni agréable.
Nous faisons un métier différent
Cette volonté de servir la vérité avant mon besoin de confort, c’est en partie ce qui fait de la Méta® un outil aussi puissant.
Quand je dis que je sers la vérité, ça veut dire que je me mets au service de ton essence : je suis là pour m’assurer que ton essence ne sera pas bafouée ni mise de côté, ce qui peut arriver même si l’intention de départ est de la mettre en lumière. Servir la vérité, c’est ce que nous faisons à Méta Wonderland, avec ma team et avec les Expertes Méta®.

Le travail de fond que je fais avec mon équipe, c’est ce qui fait que la Méta® que tu connais ou que tu découvres aujourd’hui est bien différente de celle de 2018, et n’a plus rien à voir avec ce que je transmettais en 2015 ou avant.
Et il est probable que dans les années à venir, nous découvrions de nouvelles choses et que nous apportions plus de précisions sur des points que nous ne sommes pas encore en mesure d’appréhender aujourd’hui.
C’est la raison pour laquelle seules les personnes qui se sont formées avec nous récemment utilisent la Méta®, réellement.
Tout ce qui a été fait avant y ressemble un peu ou beaucoup, mais n’est pas la Méta®, ne porte pas la précision de la Méta® et donc, n’emmène pas au même endroit.
Quand on cherche la vérité, on ne peut pas avoir d’attente sur le résultat, ni sur ce à quoi on doit aboutir : on est prêt à embrasser ce qui se présente. On ne peut pas faire le choix de la vérité et, en même temps, vendre un rêve ou promettre un aboutissement déjà packagé, c’est juste incompatible.

C’est ce qui fait qu’à Méta Wonderland, nous ne vendons pas du clé en main et nous ne cherchons pas à actionner des leviers émotionnels ni à appuyer sur tes mécanismes de survie. Ça n’est pas aligné sur nos valeurs et c’est en incohérence totale avec la Méta®, ses fondements et son but.
Aujourd’hui, il existe donc des outils, autres que la Méta®, transmis par Nathalie, ou bien Youmna et d’autres personnes à qui j’ai enseigné mes connaissances. Ces outils ne sont pas la Méta®, ils sont différents pour toutes les raisons évoquées plus haut.
Maintenant que je t’ai partagé ces éléments, je te propose, si tu as de la curiosité pour ça, de naviguer dans nos univers respectifs pour t’en imprégner et sentir ce que chacun te raconte.
Tu peux aussi en rester là.
Je suis curieuse de savoir comment ces éléments que je te partage atterrissent chez toi : si tu as des questions ou un retour à faire, ça se passe dans les commentaires !
—Flora
[Attention, pavé]
Merci infiniment pour cet article, Flora. Merci d’avoir osé t’exprimer sur ce sujet délicat. Tu réponds à mes questionnements et à ceux de beaucoup d’autres visiblement.
Je suis de nature curieux et j’aime creuser et aller en profondeur, impossible de me contenter de la surface, je dois aller à la source ! Cela correspond à mon besoin d’authenticité et de vérité, justement. J’ai donc farfouillé sur le net et par esprit de déduction, j’en ai conclus que c’était toi l’auteure de cette méthode, au vu des dates que j’ai pu pêcher ici et là (Mode détective 🧐). J’ai trouvé ça très curieux que Youmna ne mentionne à aucun moment être formée par tes soins, ça me paraît même louche. Pour tout dire, ça m’a même un peu mis en colère car je n’aime pas quand on ne communique pas clairement les choses, surtout à des potentiels futurs clients ! De plus, s’approprier le travail des autres ou ne pas citer ses mentors et ses sources, cela me révolte ! J’aime la transparence et la franchise. Je me suis même demandé si tu avais bien protégé ta méthode car ça me paraissait bizarre que la sienne puisse l’être si elle n’en était pas à l’origine. J’étais en mode : Rendons à César ce qui est à César, rendons à Flora ce qui est à Flora !
Ce qui m’a frappé c’est votre différence de visibilité, je dois l’avouer. Youmna semble être bonne communiquante, que ce soit à travers sa chaîne Youtube, sa conférence sur TEDx etc. J’aurais très bien pu choisir la méthode de Youmna même si je savais qu’elle n’était pas à l’origine. Cependant, ce qui m’a fait pencher vers la Méta et bien c’est toi, tout simplement ! Je me suis abonné à ta newsletter et j’ai adoré recevoir tes mails très pertinents. En te lisant, j’avais l’impression de lire une VRAIE personne ! Ça paraît étrange dit comme ça mais je trouve que beaucoup de personnes dans le développement personnel se donnent des air et ça ne colle pas avec cette recherche d’authenticité, ça sonne faux ! En te lisant, je me disais enfin quelqu’un qui parle normalement, qui dit merde et putain, qui enrobe pas ses propos de miel pour que ça passe mieux. Non, enfin quelqu’un qui parle vrai. On adhère ou on n’adhère pas mais moi c’est ce qui m’a fait te kiffer alors que je ne te connais pas, ahah ! (En plus des allusions à Alice aux pays des merveilles et Harry Potter, là c’était juste la cerise sur le gâteau quoi). 😍
Je sentais qu’il y avait anguille sous roche dans cette histoire mais j’étais loin d’imager ça. Qu’elle coupe les ponts, qu’elle supprime les commentaires qui parlent de toi etc. Bon sang, heureusement que je n’ai pas choisi “S’habiller vrai” car la censure ça m’aurait mis de travers. De toute façon, elle ne s’adresse qu’aux femmes dans toute sa communication donc je ne me sentais pas le bienvenu 😛. Je suis choqué de voir la ressemblance du logo ! Quel culot n’empêche ! 😱😡
Ta méthode est belle et riche et elle s’appuie sur de l’authentique, pas sur du faux-semblant. Protège là, chouchoute là, fais là évoluer comme tu le fais. Le fruit de tout cela, c’est nous, c’est les gens qui se découvrent, se redécouvrent, se reconnectent et s’épanouissent. La Méta est un arbre, les élèves en sont les fruits. (Putain c’est beau, non? 😎)
Ce qui fera toujours la différence c’est toi et les valeurs que tu transmets. Et ça, ça ne s’invente pas, on les a ou on les a pas !
[Sorry, j’arrive décidément pas faire concis ><]
Merci pour ton retour Dylan, c’est toujours précieux d’avoir le point de vue de personnes qui arrivent et découvrent les choses de l’extérieur 🙂
Merci Flora d’avoir redéfini l’historique de la Méta et posé cet acte de recadrage. Il dissipe la confusion apparente. Je ressens beaucoup les tensions qui existent avec la personne dont tu parles et l’inconfort de ta situation vis-à-vis de son déploiement marketing, qui, à mon sens, peut desservir la Méta (le rapprochement me paraît inévitable), notamment parce qu’elle me met mal à l’aise dans ses vêtements, entre autres. Je me retrouve davantage dans ton approche exigeante et authentique que celle du marketing et de la séduction. Tu nous offres là une belle leçon d’évolution. Cette mise au point raisonne pour moi aussi comme un geste d’amour pour vous deux.
Merci pour ton retour Cécile 😊 J’aime beaucoup ta dernière phrase, je n’avais pas pensé les choses sous cet angle mais c’est très sensé !
Cet article fait du bien ! En tout cas, il me fait du bien. Merci de l’avoir écrit et partagé.
Je le trouve plein d’humilité, de transparence et de courage. En effet, la vérité n’est pas toujours facile à mettre sur le tapis et je trouve que tu l’as fait avec brio dans cet article.
J’aime la façon dont tu expliques les faits sans pour autant avoir besoin de dénigrer autrui. Les fait parlent d’eux mêmes et c’est suffisant pour se faire sa propre idée. Je trouve ta démarche sage et mature.
Je trouve cet article inspirant et impactant.
Concernant les erreurs, comme tu le mentionnes, en faire n’est pas un problème en soit, c’est ce qu’on en fait après qui est important.
J’ai découvert la Méta via une de tes très anciennes élèves et lorsque je lui ai dit que le profil qu’elle m’avait attribué était erroné (après l’avoir revu avec toi et ton équipe péda —car je préférais aller à la source), elle s’est braquée, n’a pas été ouverte à ce que je lui partageais. Aucune remise en question ni ouverture. Je trouve ça dommage. Et pour ma part, j’ai été déçue et ne me suis pas sentie entendue/écoutée.
J’aime la façon dont tu « gères » tes erreurs. J’ai notamment pu en être témoin il y a quelques années en formation pro et j’ai trouvé ta façon de revenir dessus tellement apprenante et pleine d’humilité. C’est inspirant et ça a été un très beau moment. Et puis, ce qui est à savoir, c’est qu’à Méta Wonderland, que ce soit pour l’équipe pédagogique ou les expertes Méta, beaucoup de choses sont mises en place pour minimiser ce risque d’erreur. Il n’est pas nié. On sait qu’il peut exister et on fait en fonction. Je trouve ça génial. De façon général, le souci d’un service de qualité est primordial à Méta Wonderland. Et c’est flagrant quand on voit l’historique que tu partages : refonte de la Méta, souci porté à la pédagogie, etc. C’est plein d’amour donné à ses clients, d’une certaine manière 🙂
Concernant la méthode « s’habiller vrai », moi qui connait la Méta depuis un moment maintenant et en en connaissant l’historique, j’ai plusieurs fois ressenti de l’injustice lorsque je tombais sur une vidéo youtube, le site, une pub. C’était inconfortable pour moi et me mettait en colère de voir ce manque de vérité, de transparence concernant la source de la méthode. « Mais enfin, qui fait ça ? Pourquoi ? Mais comment peut-on faire ça ? ». La cerise sur le gâteau a été de voir son TedX « sur la Méta », alors qu’à aucun moment ni son parcours, ni le nom de la méthode, ni toi n’êtes cités. Je trouve cela tellement gros que ça me laisse sans voix.
Alors plusieurs fois je me suis demandé « mais pourquoi est-ce que cela m’active autant ? Pourquoi cela me met en colère et mal à l’aise ? Ça ne me concerne pas au final » . J’ai vu que cela était d’une part dû au fait que ces comportements vont totalement à l’encontre de certains points importants pour moi (la vérité, la transparence, l’honnêteté, le respect). Et d’autres part parce que je t’apprécie beaucoup (j’aime ce côté cash, cette authenticité) et que je trouve cela vraiment injuste pour toi. Toi qui fait de ton mieux et apportes beaucoup aux autres grâce à ton dévouement à la Méta.
Pour ma part, il y a un avant et un après la Méta. Je suis heureuse d’avoir croisé son et ton chemin.
Donc voilà, merci pour cet article qui permet de poser les choses, de rendre visible et accessible la vérité pour mettre un terme à ce flou qui persistait.
Merci Louise 😊❤
Bonjour Flora,
Merci pour cet article 🙂 Je suis contente d’être tombée dessus. Cela m’a conforté dans mon choix.
Voilà une semaine que je suis en pleine exploration sur la manière de travailler l’image de soi et mon rapport au vêtement.
C’est tout naturellement (merci Google :)) que je tombe sur vos deux sites. J’avoue avoir eu du mal à comprendre l’origine des méthodes que vous proposiez toutes les deux. Cependant cette nouvelle approche de connaissance de soi alliant image, corps et essence m’a séduite.
Alors dans ma quête d’information, je consulte vos deux contenus (Guides gratuits, Youtube…)
Sans vouloir te faire une éloge exacerbée ou dénigrer ladite Youmna, j’ai vu une nette différence dans vos discours ainsi que la qualité de vos contenus (le fond).
Ce qui était marrant en participant au webinaire SHV concernant la présentation de son programme, je m’étais dit : “ça ressemble étrangement à la méthode Méta mais pourquoi cela n’ai jamais mentionné dans son parcours??”.
En voulant comparer et creuser le contenu de vos programmes respectifs l’un semble creux et pompeux et l’autre plus profond et recherché (j’évoque ici la méthode Méta ;-). Ça n’engage que moi). Ceci dit je suis contente d’avoir ressenti c’est inconfort qui m’a amené vers la “vérité” :).
Je vais finir mon commentaire sur ce proverbe arabe : “Quand est-ce que la vérité ne vaut rien ? Quand elle fait tort à un absent”.
Toute mon affection
D.
Merci pour ton retour 😊 J’ai pas grand chose à dire, tu as repéré tout ce dont je parle ici. Alors bienvenue à Méta Wonderland 😀
Intéressant de parler du rapport à l’erreur, je pense qu’il est difficile pour beaucoup d’entre nous de reconnaître et de transcender nos erreurs.
Notre éducation nous apprend la haine de la correction, qui est une grande source de castration selon Idriss Aberkane, et je suis plutôt du même avis.
Par 3 fois, j’ai été diagnostiqué Hiver par une de tes élèves des premières années et par Youmna. J’avoue que j’étais un peu énervée de la redondance d’erreur en me découvrant Printemps.
Ayant mieux compris la méthode, mon rayonnement Jaune doré ne pouvait pas être ignoré si facilement. A l’époque des 3 différents test, j’étais peut être pas la plus libérée des nanas printemps, mais bon, je trouve l’erreur un peu énorme quand même.
Tout le monde a le droit à l’erreur, oui.
Et quand j’ai recontacté chacune des femmes qui m’avait fait le faux profils, je me suis sentie au mieux ignorée et sinon culpabilisée de mon sentiment d’avoir suivi une fausse piste, bien que je ne niais pas ma part de responsabilité dans le processus.
C’est vrai que la communication de Youmna est très alléchante. Et à l’époque, le côté pimpant de sa personne m’avait attiré. Être attirée par ce qui brille n’est pas un critère de qualité, je le sais maintenant.
Être exigeante, c’est peut être parfois passée pour une chieuse.
Et être une chieuse peut avoir du bon.
Ce sera ma conclusion 🙂
Merci pour ton retour d’expérience Hélène. Effectivement, sa communication est alléchante et donne envie. De mon point de vue, elle appuie exactement là où il faut pour déclencher l’achat : elle passe du baume, fait rêver et te montre à quel point c’est facile d’être soi et d’avoir une vie de rêve et d’abondance, parce que tu alignes ce que tu fais sur qui tu es…
Quand on est exigeante, on passe pour une chieuse auprès des personnes qui ne le sont pas, pour une personne qui sait ce qui compte pour elle et qui l’assume, pour les autres 😊
J’ajoute à mon commentaire précédent l’évolution de la Méta entre 2014 et 2021. Des supports précis, des ateliers vivants, avec par exemple les panels de personnes de même profils. Le tout animé par une équipe convaincue .
Merci Arlette 😊
Merci Flora.
Tes mots me font tellement de bien.
A moi personnellement, à qui la même chose est arrivée il y a quelques années de cela. J’avais prêté ma maison à une collègue et l’accès à mon ordi pour qu’elle puisse travailler le temps que j’étais avec ma fille en Afrique à tenter de résoudre des problèmes de famille.
Et quel choc de me rendre compte à mon retour qu’elle m’avait ajoutée à sa lettre d’info et créé un site internet, qui ressemblait étrangement en beaucoup de points au mien, jusqu’à des paragraphes entiers.
J’étais tellement triste, en colère.
Et puis comme j’ai un tempérament à ne pas me laisser abattre, j’ai modifié mon site, chercher encore plus en profondeur mon identité pour créer encore plus en détails au plus près de qui je suis.
Cela a finalement été un leitmotiv.
Tes mots me touchent aussi sur un plan plus large, le sens de la place au sein de la communauté des humains et le sens de la justice. Je suis très sensible à ces questions.
En énergétique chinoise, parce que j’ai la tête dans le gidon en ce moment avec mes études d’homéopathie uniciste, ce que je perçois c’est qu’on a un second feu avec Youmna alors que tu es Maître Coeur. Alors forcément ce n’est pas compatible et cela fait des étincelles.
Et je trouve tellement juste qu’en ayant gagné du métal, toujours en énergétique chinoise de ce que je perçois juste depuis ma petite lucarne de celle qui apprend et vois de l’énergétique chinoise partout, tu puisses redonner à César ce qui appartient à César. Ni plus ni moins. Point.
En ce qui me concerne, j’ai sur les conseils d’une amie, alors que je souhaitais il y a 4 ans de cela refaire peau neuve à mon site internet, suivi la formation avec Youmna Tarazi. Argh ne jamais écouté les conseils d’une amie sans vérifier si c’est approprié pour soi, et qu’elle ne fait pas juste une projection sur toi de ce qui pourrait te faire du bien.
Du coup j’ai foncé tête baissée dans la formation en ligne “S’habiller vrai”, c’était pour moi comme de nouveau aller visiter là où ça sonne creux, pas juste, pour ramener de la justice là dedans. Assez forte là dedans j’ai reproduit pendant des années ce schéma.
Et je ne me suis pas trompée, cette femme n’a pas intégré la moitié de ce qu’est la pédagogie, la profondeur de ce qu’elle propose. Rien n’est embodied, au sens d’incarné dans ce qu’elle transmet. Et plus encore elle fait du mal aux personnes qu’elles accompagnent. C’est juste tout ce que je déteste.
Ceci étant j’ai pris ce que j’avais à y prendre et refais mon site dans les mois qui ont suivi la formation avec elle.
Ou plutôt les vidéos en ligne.
Parce que les 4 jours de présentiel de fin de formation sur Paris ont été un fiasco.
Répéter le contenu vidéo que d’autres n’avaient pas encore regardées, cela a bien été du foutage de gueule, soyons honnêtes. Je me souviens encore de la photo de groupe, dans un parc à Paris, avec elle au centre clamant ” I am the boss !”.
Quelle puérilité quand j’y repense.
Alors probablement que cette femme n’a pas encore trouvé les ressources profondes et intrinsèques pour créer et amener ce qu’elle est au monde, qui vient du plus profond d’elle, sans influences autre que la Vie qui la traverse.
Ou en tous les cas elle amène ce qu’elle croit être et répond à des personnes sans doute pour qui il y a à apprendre de cette expérience, comme cela a été le cas pour moi.
Ce qui est sûr c’est que quand j’ai demandé à la Vie de me montrer les vraies personnes initiatrices de ce mouvement d’identité de soi autour du vêtement, je suis tombée sur toi Floria. J’ai su la vérité bien avant que tu la nommes ici.
Alors finalement ce que je retiens de ton histoire c’est que la Vérité finit toujours par éclater au grand jour, et que tout revient à l’énergie primordiale.
Comme celle que tu as mis dans ce que tu as créé avec la Méta.
Et que les chihuahuas ont toujours fait plus de bruits pour se sentir exister.
Et j’espère bien prochainement pouvoir venir sur Nantes pour profiter un peu plus profondément de la Méta.
Gratitude à toi
Avec toute ma reconnaissance
***
PS: la Vérité pour moi c’est que si je partage cela ici c’est pour :
1/ Participer au mouvement pour tout le monde de ramener la Vérité là où elle est, en partageant mon expérience,
2/ Me sentir faire partie en tant qu’être humaine de ce mouvement et ainsi me sentir à ma juste place et aimée par la Vie,
3/ Me libérer de ce poids qu’il me restait par rapport à cette expérience avec l’ombre de la lumière que représente pour moi S’habiller…
Vraie tu ES !
Finalité
Luminescente d'(H)
Ortensias
Rayonnante à l’
Infini par
Amour de qui vibres en toi
… je ne sais pas quoi te répondre, à part MERCI de partager tout ça ici ! Ton retour d’expérience est précieux, ainsi que l’analyse que tu en fais. J’espère aussi que nous aurons l’occasion de nous rencontrer en vrai 🙂
Je suis curieuse maintenant de savoir ce que ça veut dire, être “Maître Coeur”, je ne connais pas bien l’énergétique chinoise 😄
Je ne connais aucune de ces méthodes.
Attirée par votre manière singulière et unique de vous définir comme “anti-conseil en image”, je me suis abonnée à votre newsletter qui m’inspire énormément à chacune de mes lectures. J’apprécie votre charisme, votre authenticité et votre manière cash de dire les choses, d’appeler un chat un chat.
Vous apportez un souffle nouveau dans cet univers sclérosé de la “mode” où le paraître et la forme l’emportent souvent, au détriment de l’être et du fond.
Merci pour cet article au service de la Beauté et de la Vérité dans ce monde qui en a bien besoin.
Merci pour ton retour Isabelle, et merci de “voir” le travail que nous faisons ici 😊
Merci pour cet article 🙂
J’ai en effet découvert le sujet dans Inexploré avec cette personne, mais elle disait aussi que ceux qui vont plus loin font des chichis et que ça sert à rien, et ça me parlait pas trop. Je me suis dit, s’il y en a qui creusent plus, ça m’intéresse. Et j’ai trouvé ton livre, qui allait plus loin, du coup je me suis plutôt tournée vers toi.
Les gens qui sont purement dans le capitalisme et qui “assument”, j’ai moins de mal à comprendre que ceux qui sont dans le développement personnel mais qui ont toujours rien compris, comme j’ai du mal à comprendre un réalisateur qui crée une série féministe mais qui agresse ses actrices. Genre ils ont compris mais ils mettent de côté ??
Tu en as déjà parlé et j’avais déjà commenté mais oui ces dernières années le développement personnel a pris un virage et pas pour le meilleur.
Pendant plusieurs années j’ai fait plein de formations et de stages, dans plein de domaines différents, et c’était toujours une centaine d’euros la journée. Depuis quelques années ça n’existe plus, ça, c’est toujours des centaines voire des milliers d’euros.
Mais au moins pour toi je commence à comprendre. Si tu fais toi-même la recherche dans le domaine, on paie pour la formation mais aussi pour les recherches.
J’avoue que soutenir le capitalisme dans le développement personnel ça va un peu à l’encontre de mes valeurs.
Mais la vérité, on est en plein dedans.
Merci d’avoir écrit cet article, ça doit être extrêmement désagréable d’avoir à nommer quelqu’un, en effet ça peut vite passer pour de la jalousie ou autre, même quand on ne fait qu’énoncer des faits.
Juridiquement il faut juste faire attention, c’est une aberration mais la diffamation c’est nuire à la réputation même quand les faits rapportés sont vrais, ce qui est complètement ridicule et une insulte à la liberté d’expression, mais vive le droit français patriarcal.
Ah zut j’ai commenté sous un autre commentaire, désolée j’ai pas fait attention, sur le tel. Désolée !
Merci Anne-Laure pour ton retour ! “Ceux qui vont plus loin font des chichis et ça sert à rien” 😅 ça parle clairement de nos orientations différentes.
Effectivement, tout ça n’est ni confortable ni agréable, mais quand on choisit la vérité, il faut ensuite agir en conséquence et nommer tout ça en fait partie. Merci pour ton soutien quoi qu’il en soit 🙏
Bonjour Flora, J’ai suivi un stage en présentiel en 2014 à un moment de changement de vie . J’étais très loin de moi, avec un niveau de confiance en moi très bas .
Cette formation c’est déroulée à raison d’une semaine tous les 2 mois (il me semble) . Une semaine pour les couleurs, une pour les matières, une pour les formes et une pour l’alchimie du tout . Cette expérience à largement contribuée à me structurer, à me connaître . En 2021 un autre tournant pour moi, alors Je m’inscris à la formation pro . Un gros défi pour moi, j’ai 59 ans, peu utilisatrice des moyens modernes de communication, peu performante en prise de notes . J’ai suivi cette formation avec mes capacités . Au cours de cette deuxième exploration il c’est avéré que mon profil révélé en 2014 n’était pas le bon . Je ne l’ai pas reproché à Flora . comme je l’ai dit j’étais très loin de moi . J’ai accepté cette nouvelle exploration, que je vis encore aujourd’hui . La Méta est vraiment un moyen d’exploration personnel, si comme moi on a envie d’incarner son identité . J’aime vivre ce printemps indice air qui révèle ma douceur . Je n’ai jamais vécu ça avant . La Méta à mis de la cohérence dans mon apparence vestimentaire et dans ma vie . . . de la confiance, de la bonne humeur .
Merci Arlette pour ta confiance 😊 Nos stages duraient 1 week-end à l’époque et oui, tu en as suivi 4 avant de faire la Formation Pro plus tard. Encore bravo pour ton ouverture et ta curiosité sans cesse renouvelées !
Coucou Flora. J’imagine que ça demande discernement et alignement pour rédiger un article de ce genre et ne pas tomber dans un pseudo règlement de compte un peu foireux et dégueu. J’ai également lu ton article afin de dissiper des questionnements car il y a quelques mois de cela, je suis tombée sur un article traitant de “S’habiller vrai” dans un magazine que je lis de temps en temps et What’s the fuck! Moi qui étais en formation avec toi à ce moment là, je n’ai pas compris pourquoi l’absence de lien entre 2 choses si proches. Je n’ai pas vraiment envie de polimiquer, je n’en vois pas l’intérêt. J’ai davantage envie de préciser pourquoi je t’ai choisie.
Là où je te rejoins, c’est dans la notion de Vérité et le bien-être intérieur qui en résulte, quand le fond et la forme sont en adéquation. Comme toi je me sens chercheuse et si ça bloque à un endroit, je ne peux continuer d’avancer ou faire semblant. C’est comme un fusible qui saute. Parfois c’est long et ça demande du temps pour rétablir le jus, trouver la panne ; Je peux aussi me juger mais au fond de moi et de façon subtile, je sens la justesse de cette recherche. Et c’est en partie ça, qui m’a attiré chez toi et dans la Méta. J’ai senti la qualité de la formation, la profondeur, la justesse, la persévérance, le courage. La Vérité. C’était clair. J’ai senti que ça soutiendrait une recherche de Vérité intérieure infinie, celle dans laquelle je choisis de vivre. “Aux humbles, dont les choix invisibles guérissent le monde”. Pour moi c’est l’équipe gagnante des transformations profondes dont nous avons besoin car le moteur intérieur n’est pas celui d’une reconnaissance qui vient panser une blessure – que je ne veux pas juger car c’est aussi là notre endroit de vulnérabilité et de guérison / résilience, si toutefois on s’y penche sérieusement – mais d’une conscience plus grande, plus vaste que les contours de soi. Et ça, ce n’est ni égoïste ni narcissique mais tout l’inverse! C’est ce que je suis venue chercher chez toi et ton équipe. Et Je l’ai trouvé. Ca ne veut pas dire qu’il faut rester tanqué(e) dans ses tranchées à attendre que ça se passe (ben oui, si on veut changer le monde, faut un peu rayonner quand même, transmettre, n’est-ce pas?! Prendre sa part de Responsabilité.
J’ai attendu quelques mois avant de finalement enchaîner stage et formation très rapidement à Méta Wonderland. Je repoussais l’échéance en me disant “nooon mais ça va là, t’as déjà plusieurs formations en lice tu peux peut-être te débrouiller avec ça là”! Mais chaque nouvel article de toi ou de ton équipe me touchait direct dans mon essence, dans mon âme et ça, ça n’existe pas quand c’est du fake. Je n’ai pas envie de creuser autour de S’habiller Vrai. J’imagine qu’elle soutient et fait du bien à plusieurs personnes et tant mieux quelque part (ou pas, je ne sais pas). En tous cas, c’est une histoire de reconnaissance et de lois d’attractivité à mon sens. Je vais rapidement sur le site de cette personne et l’image qui me vient c’est une “coquille vide”. Zut. Ou comme si je survolais un paysage sans m’en approcher. Je n’aime pas trop être à cet endroit. Juste ça ne me parle pas. Je ne retrouve pas la précision, la profondeur, la densité de ce qui me porte moi. Ce que justement j’ai choisi à Méta Wonderland et sans intention de “failloter” héhé. Simplement, je vais vers ce qui me ressemble et me nourrit. Je choisis mon équipe. Mes valeurs. Et la Vérité dans ce qu’il y a de plus brut, dérangeant et lumineux. Merci Flora pour cet exercice ô combien délicat mais nécessaire. A chacun-e- ses responsabilités. Et voilà (je me surprends moi aussi de ce commentaire ahaha). A bientôt!
Merci pour tes mots Gaëlle, qui me vont droit au coeur 😍
courageux, net et sans bavure 👌 c’est précisément cette exigence de vérité qui résonne pour moi et qui m’a attirée vers ton travail, sans avoir alors connaissance de ce contexte.. j’ai laissé mon ressenti me guider et l’aiguille du compteur a penché sans hésiter vers la Méta.. merci donc pour cet article qui m’éclaire a posteriori sur la qualité de mon ressenti.. moi aussi je marche sur une voie étroite où la note juste 🎵 m’est vitale et où je constate que le flou est disons, répandu 🤷♀️
Le flou est répandu… c’est tout à fait ça 😄 Merci Isabelle ! 🙏
Comme toujours je suis épatée par ton ancrage et ta capacité à garder ton intégrité malgré “l’adversité” (même si ça n’en est pas, ce sont simplement des personnes ou des évènements qui aident à grandir, à “nous révéler” 😉). Je fonctionne exactement comme toi dans mes relations et surtout envers moi-même, et j’ai pu constater au long de ma courte existence que ce n’était pas le cas de la plupart des gens, et j’ai pu me sentir très seule par moment. J’écris énormément et me définis moi-même dans mes textes comme une “chercheuse de vérité”, alors quand je te lis l’identification est très forte, j’en ai même versé une petite larme. Merci d’être toi.
Merci pour ton retour Nina ! Effectivement, les chercheurs de vérité peuvent se sentir seuls car ils sont moins nombreux que ceux qui cherchent le confort… 😅 Merci pour tes mots d’encouragement 😊
Je ne connais ni l’une ni l’autre de ses femmes et ne porte pas d’avis dessus. En revanche je te suis depuis plusieurs années, je connais ton travail pour avoir fait mon profil avec une experte meta exceptionnelle et j’ai travaillé sur mon site internet avec une autre experte meta. Et je te remercie pour ta sincérité et ton authenticité dans cet article. La vérité est parfois très dur à porter et à mettre à jour. Je salue ton courage et ta ténacité.
Merci beaucoup pour ton retour Marielle ! 😊 Je me réjouis de lire ton expérience et je suis touchée par tes mots.