Tu crées ta réalité : vrai ou faux ?

par | septembre 2023 | 13 commentaires

Tu as peut-être déjà entendu, sur un profil Facebook, Instagram ou autre… quelqu’un dire que c’est toi qui crées ta réalité à 100% ? Que tout ce qui se passe dans ta vie, c’est toi qui en es à l’origine ?

Est-ce bien toi qui crées ta réalité ?

Tu noteras qu’il y a une différence entre être le créateur de sa réalité et prendre la responsabilité de sa vie : dans le premier cas, c’est toi qui es à l’origine de tout ce qui se passe dans ta vie (ce qui est faux, j’ai vendu la mèche, on en reparle juste après) et dans le deuxième cas, tu es responsable de ce que tu décide de faire de ce qui se passe dans ta vie.

Ha. Tu sens la différence ?

Je viens de le dire : ce n’est pas toi qui crées ta réalité —en tous cas pas entièrement.

Évidemment, tu es en partie responsable de ce qui se passe dans ta vie, rendons à César ce qui appartient à César —mais en partie seulement. Il est erroné de penser que tu es le créateur tout puissant de ce qui se passe dans ta vie.

Ce que je veux démonter avec cet article, c’est cette hypothèse selon laquelle chacun de nous crée sa réalité et qu’il suffit de travailler sur soi, travailler sur son mindset ou travailler sur son “taux vibratoire” pour manifester (berk) une vie exactement comme on la veut.

Cette hypothèse est fausse.

Non, tu ne crées pas ta réalité, toi tout seul, parce que tu aurais acquis la maîtrise de tes pensées, de la loi d’attraction, des lois de l’univers et de je ne sais quel code de lumière.

Il faut faire la différence entre :

  • ce que l’on vit, ce qui se passe dans notre vie et autour de nous, notre réalité environnante, d’une part,
  • comment on le vit, comment on le traverse, l’impact de cette réalité extérieure sur notre réalité intérieure.

Nous avons du pouvoir sur ces 2 choses-là mais c’est sur le comment on le vit que nous avons le plus de pouvoir.

Nos décisions et nos actions ont un impact certain sur nos vies personnelles.

Ces décisions et ces actions s’ajoutent à celles du collectif et forment une réalité complexe et commune à tous.

Enfin, nous sommes entièrement responsables de comment nous utilisons ce qui se passe dans notre vie, ce que nous décidons d’en faire (comme je l’explique ici).

L’humanité est un collectif

Comme tu peux le voir, nous avons du pouvoir à différents niveaux, mais ce pouvoir se mêle à tout ce qui concerne le collectif, dont nous faisons partie, qu’on le veuille ou non.

Tu as bien lu ce que j’ai écrit, j’ai parlé de collectif.

Il faut arrêter de penser que nous sommes chacun dans notre coin, dans notre bulle, à manifester notre réalité indépendamment de ce qui se passe autour.

Nous ne sommes pas chacun dans notre univers, séparés les uns des autres. Ce que je fais t’impacte et impacte le collectif, à divers degrés et ce que tu fais toi aussi, m’impacte et impacte le collectif, à divers degrés. Il ne peut en être autrement.

Ce que nous faisons ou ne faisons pas, ce que nous disons ou ne disons pas, ce que nous refusons ou acceptons, tout ça a un impact sur notre vie personnelle mais aussi sur la vie du collectif humain.

Tout ce que l’individu fait impacte le collectif et tout ce que fait le collectif impacte l’individu.

Parfois de façons subtile, parfois de façon très visible. Il faut être dans le déni de la réalité pour ne pas le voir.

Exemple #1 :

Quand J.K. Rowling écrit un livre et se démène pour le faire éditer, que ce livre s’appelle Harry Potter et qu’il devient un best seller, une légende dont absolument tout le monde a entendu parler et qui inspire des millions de personnes partout sur le globe, c’est l’individu qui impacte le collectif.

Exemple #2 :

Quand les pompiers de Guadeloupe s’unissent et s’insurgent contre l’obligation de se faire injecter en 2021, créent des émeutes et qu’ils finissent par obtenir gain de cause, ce qui fait qu’un pompier là-bas, même s’il n’a pas participé au mouvement, peut continuer à exercer son métier sans se faire injecter, c’est le collectif qui impacte l’individu.

Nous ne créons pas chacun notre réalité indépendamment des autres. Nous la créons individuellement ET collectivement.

Pour réussir à nous créer une vie libre et nourrissante sur Terre, nous avons chacun à agir sur 2 niveaux :

  1. le niveau individuel, qui demande de travailler sur nos actes et leurs conséquences dans notre vie personnelle, intime, ainsi que sur notre capacité intérieure à embrasser la réalité pour agir à partir de ça —au lieu de fantasmer et se mentir. Il s’agit de prendre en considération l’impact du collectif sur l’individu, et de l’individu sur l’individu (mon impact sur moi-même).
  2. le niveau collectif, qui demande de travailler sur nos actes et leurs conséquences sur le collectif. Il s’agit de prendre en considération l’impact de l’individu sur le collectif.

Tes décisions et tes actions impactent le collectif

Ce post n’a rien à voir avec un discours moralisateur woke ou éco-militant.

Il a tout à voir avec le fait que nous sommes une humanité globalement docile et soumise à une poignée de psychopathes, parce que le collectif le veut bien.

Or le collectif est une somme d’individus. Ce que le collectif accepte, c’est ce que la somme d’individus accepte.

Et ce que la somme d’individus accepte est entièrement en lien avec ce qu’elle croit qui est possible ou pas, comment elle pense que le monde fonctionne.

Et bah petit reality check : ce que tu fais et penses impacte la vie des autres et ce que font et pensent les autres impacte ta vie.

Tout ce que l’individu fait impacte le collectif et tout ce que fait le collectif impacte l’individu.

Tu n’es pas le dieu tout puissant de ton univers, tu es une cellule qui crée avec tout le reste des cellules du corps “Univers”.

Tu es en charge de ce qui se passe dans ta cellule, mais ce qui se passe dans ta cellule est impacté par ce qui se passe en dehors. Ce qui se passe dans ta cellule impacte également ce qui est en dehors.

Et tu n’es pas à l’abri que des cellules cancérigènes cherchent à te bouffer à un moment où un autre, alors que vous viviez en bonne harmonie jusque là !

Offense-toi autant que tu veux, ça changera pas cet état de fait.

Non, tu ne crées pas ta réalité

Tu crées, avec nous tous, les autres humains, notre réalité collective.

Tu es 100% responsable de ce que tu décides de faire de la réalité, oui. Mais tu ne crées pas 100% de la réalité.

Il faut vraiment apprendre à faire la différence entre ce qui se passe à l’intérieur de toi, sur lequel tu as tout le pouvoir (même si parfois il est difficile à manier, même si des fois tu ne sais pas comment l’utiliser) et ce qui se passe en dehors de toi, sur lequel tu as un certain pouvoir.

Dans le milieu du dev perso et du coaching magique on entend partout cette idée qu’on est seul créateur de notre réalité. C’est faux, nous sommes tous co-créateurs de notre réalité collective et ensuite, nous sommes chacun créateurs de comment cette réalité collective est vécue et alchimisée intérieurement. C’est pas tout-à-fait pareil !

Entretenir l’autre dans le mensonge “pour éviter de le faire souffrir” fait partie de ce qui maintient le collectif humain à un niveau de conscience bas.

C’est comme le business du make-money : on a envie d’y croire alors on l’affirme, ce qui attire des gens qui ont envie d’y croire, alors ça nous renforce dans notre croyance…

Si tu fais partie de ceux qui pensent libérer les gens en leur enseignant que tout est possible et qu’ils peuvent être ce qu’ils veulent, qu’ils sont comme une toile vierge ou une page blanche et qu’ils peuvent inventer ce qu’ils sont et se réinventer chaque jour au gré du vent ou de leur humeur, sache que tu n’élèves pas le collectif, tu contribues à maintenir son asservissement.

Si tu fais partie des gens qui pensent élever le collectif en enseignant les mystères de la manifestation par le “recalibrage énergétique” (en gros, tu fais payer des accompagnements cher, dans lesquels tu enseignes comment créer des accompagnements chers) parce qu’en faisant ça, tu penses permettre à des gens d’accéder à de nouveaux paliers financiers, sache que tu n’élèves pas le collectif, tu contribues à maintenir son asservissement.

Pourquoi ?

Parce que tu relaies des mensonges.

Parce que tu fais croire aux autres qu’ils ont du pouvoir à des endroits où ils n’en ont pas, ce qui les empêche d’utiliser leur réel pouvoir —ce qui est ton cas également si tu fais ça de bonne foi.

Parce que tu les entretiens dans l’idée qu’ils sont dans leur monde, coupés du reste de l’humanité, que leurs décisions et leurs actions n’ont pas d’impact sur le reste du monde et qu’ils peuvent continuer à s’occuper de leur nombril sans que ça ne nuise à personne —pire, en leur vendant l’idée qu’en s’occupant de leur capacité à acheter toujours plus de champagne et de sacs Chanel, ils œuvrent pour le bien collectif.

D’où vient cette idée ?

Cette idée que nous sommes les créateurs tout-puissants de notre réalité, je ne sais pas d’où elle vient. Rapidement, comme ça, je dirait qu’elle vient soulager (mettre un pansement sur) 2 peurs profondes :

  • l’impuissance abyssale que l’on peut ressentir en tant qu’individu humain faisant partie du collectif ;
  • l’impuissance abyssale que l’on peut ressentir face à son propre chaos intérieur, quand on ne sait pas comment l’appréhender.
Nous n’avons pas besoin de nouveaux gourous pour nous montrer comment manifester une réalité d’abondance, nous avons besoin de plus d’individus qui s’engagent sincèrement sur le chemin de la Vérité et qui développent leur courage au quotidien.

Collectivement, nous n’avons pas besoin de plus de techniques ou de bla bla sur comment manifester une vie de rêve —la plupart de tout ce qui est dit est faux et le résultat est en réalité une redécoration carcérale.

Nous avons besoin de plus d’individus qui s’engagent sincèrement sur le chemin de la Vérité et qui développent leur courage au quotidien.

Le courage de continuer à chercher, trouver et dire la Vérité, même et surtout quand elle est dure, même et surtout quand elle perturbe, même et surtout quand personne ne veut l’entendre —la Vérité, j’en parle en long en large et en travers dans cet article.

C’est la route la plus difficile, mais les conséquences à long terme seront profondément positives pour l’individu ET pour le collectif.

C’est la connaissance de la Vérité qui libère —et ça commence par reconnaître quand quelque chose que l’on diffuse largement est faux.

Fais-moi part de ton point de vue et dis-moi en commentaire ce que tu retiens de cet article, je me ferai un plaisir de te lire.

Flora

13 Commentaires

  1. Flore Viard

    Totalement d’accord avec toi sur le fait que nous ne créons pas notre réalité … et c’est bien que de plus en plus de gens le disent !

    Les personnes qui y croient se coupent d’ailleurs de plus en plus de la réalité, puisqu’elles finissent par être dans le déni de tout ce qui ne rentre pas dans leur croyance et leur schéma. Elles se coupent souvent du “mauvais” côté de la réalité, sous prétexte de manifester. Or ça n’aide pas du tout à agir avec la réalité…

    Ton article m’a d’ailleurs fait prendre conscience qu’un accompagnement que j’ai pris il y a quelques années – pourtant avec un coach qui pourfendait les leaders femmes du coaching spirituel – faisait en fait exactement la même chose… se convaincre qu’il a raison en convainquant ses clients de faire comme lui (high ticket). Cet accompagnement a juste réussi à me couper de moi plus profondément. Tu dis ci-dessus : “de l’enfume pour se faire croire qu’on investit à bloc sur soi et qu’on fait un travail profond alors que ce n’était que du renforcement d’ego”, bah c’était exactement ça…

    Merci de parler du côté collectif qui manque tellement dans le monde du dev perso et du coaching.

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    • Flora Douville

      Merci pour ton retour Flore, c’est exactement ça. C’est une manière de se couper du réel et de vivre de plus en plus perché dans un monde illusoire, fait de fantasmes. Comme en faisant ça, on attire des gens qui veulent la même chose, financièrement ça peut marcher un temps parce que le business semble “décoller”… mais ce n’est pas parce que leurs techniques de manifestation fonctionnent, c’est parce qu’elles embarquent avec elles de nouvelles personnes dans leur système pyramidal.

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  2. Coulée Zoé

    Ouiiiiiiiii !!!!
    Merci pour cette parole franche et fine. Cette honnêteté dans l’analyse. Je sens plein d’espace à l’intérieur de moi d’un coup…
    Avec des paroles comme ça, on peut enfin avancer.
    Merci Flora

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  3. Aublanc

    Un IMMENSE MERCI d’avoir mis tout ça au clair une bonne fois pour toutes !!! Ton article est vraiment génial, les exemples concrets et ta pensée claire et précise. J’espère que de plus en plus de gens s’engageront sur la voie de la Vérité.

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  4. Amandine

    Je veux simplement te remercier pour ce texte qui met les mots sur ce que je ressens. Quel soulagement de lire ça! Ça me fais déculpabiliser de ne pas être en capacité de créer simplement ma réalité à la force de ma propre volonté individuelle.
    Je le suis souvent dit” c’est bien gentil de me dire que je suis là seule et l’unique créatrice de la réalité, lais je fais quoi du monde qui m’entoure? Parce qu’il est tout aussi reel!”.
    L’abondance ce n’est oas que les finances. La réussite ce n’est pas qu’un statut social, un gros salaire et des possessions.sans vouloir dire qu’on doit nécessairement être pauvres, j’en ai marre de ce développement personnel qui propose toujours la richesse financière comme finalité.
    Merci pour cette belle réflexion qui m’a fait du bien. Elle m’a fait penser à Louis Fouché qui selon moi est un magnifique modèle d’individu ayant un impact positif sur le collectif.
    Merci Flora

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    • Flora Douville

      Merci Amandine pour ton retour ! Je suis bien d’accord avec toi. Tout ça est beaucoup basé sur une peur de manquer et un besoin de reconnaissance extérieure qui sont des signes d’une relation enfantine avec soi-même et avec la réalité. Devenir un adulte mature n’est pas facile mais c’est certainement pas avec ces leurres qu’on y arrive 😅

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  5. Amandine

    J’ai juste envie de te dire merci pour ce texte car j’ai ressenti un immense soulagement en le lisant!
    C’était comme enfin rencontrer quelqu’un qui met les mots sur mon ressenti, ma façon de percevoir les choses. Combien de fois je me suis dit: c’est bien joli de me dire que je suis l’unique créatrice de ma réalité, mais je fais quoi du monde qui m’entoure? Pour moi, il y avait nécessairement un lien entre les 2.
    J’étais dans la culpabilité de ne pas réussir à créer ma réalité à force de volonté. J’ai aussi beaucoup de mal avec ces coachings vantant les mérites de la loi de l’attraction menant obligatoirement à l’abondance parce que bien souvent l’abondance est résumée à l’abondance financière. Cet aspect financier me gêne beaucoup parce que l’abondance ça peut être plein d’autres choses selon moi. Et comme tu l’as expliqué au final si ce que nous faisons pour gagner plus d’argent ne nous permet que de consommer plus et de briller plus en société avec nos possessions coûteuses je ne vois plus le “beau” côté des choses la dedans. Je ne m’y retrouve pas.
    C’est comme la définition de “réussir dans la vie”. Il y tellement de gens qui diront que c’est avoir un job qui claque et qui rapporte beaucoup d’argent. Je trouve ça hyper réducteur et mes modèles de réussite à moi sont loin d’être milliardaires.
    Ce que tu écris ma fait penser à la façon de penser de Loyis Fouché que je trouve formidable et qui est un très bel exemple de personne ayant un impact très positif sur le collectif tout en se respectant lui même.
    Merci Flora pour la pertinence de tes opinions et le courage que tu as de les affirmer même quand elles sont à contre courant de celles largement diffusées en dev perso et spirituel. Quand je lis ces mots, je le dis que moi aussi je pourrai avoir le courage de m’affirmer plus.

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  6. Fabienne

    Merci Flora pour cet article,
    Je suis 100% d’accord avec toi.
    Sur l’origine de cette “idée”, je pense qu’elle a tout à voir avec le fait que nous sommes formatés depuis des centaines d’années à nous ressentir comme des individus séparés. La très sainte Économie part du principe que l’être humain tend naturellement à maximiser ses profits et minimiser ses efforts. Ce qui, au départ, n’est qu’une théorie, abondamment invalidée par de multiples observations et publications, est devenu une structure sociale, une façon d’être ensemble, chacun pour soi, en compétition/comparaison avec (tous) les autres, dans un “marché” mondial. Nous serions dans une “fin de l’histoire”, issue de processus inexorables, le monde a changé et nous n’y pouvons rien, à part nous adapter, blabla.
    Qu’on appelle ça “postmodernisme” ou mondialisation, cet immense mensonge dans lequel nous vivons nous encourage à nous sentir seuls contre tous, occupés uniquement à satisfaire nos besoins personnels par la consommation avec l’illusion d’un pouvoir démocratique comme seul horizon collectif. D’ou l’impuissance abyssale dont tu parles bien.

    Le dev. perso arrive là dessus pour s’adresser à cet individu tout seul dont la douleur est… forcément personnelle. Le dev. perso ne se rappelle pas que dès les prémisses de la philosophie (pour l’occident au moins), le soin de soi était intrinsèquement lié au soin du monde.

    Nous ne savons même plus que nous sommes des êtres grégaires, au point de dédier une bonne part de notre consommation à satisfaire notre besoin d’appartenance – qu’il s’agisse d’une table Ikéa, d’un sac Chanel ou de “ne pas prendre l’avion”, c’est avec ce que nous consommons que nous nous relions les uns aux autres.

    Alors cette manifestation là… j’adore ta formule : au mieux, une “redécoration carcérale”.

    Dans mon expérience personnelle, ce que j’ai compris de plus inattendu, de plus libérateur et violemment bénéfique, c’est que “je ne suis pas seule”. C’est ce lien inévitable entre moi et le monde. Dans les deux sens.
    Merci d’en parler !

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    • Flora Douville

      Merci pour ton retour Fabienne, et de partager ta vision éclairante sur ce sujet. Hier soir en préparant mon mail je me suis dit “je suis pas sûre que cet article soit vraiment abouti et qu’il traduise le fond de ma pensée” et puis je me suis dit que c’était pas grave, parce que dans le pire des cas il recevrait des commentaires qui me permettraient d’alimenter ma réflexion. Et ce matin je vois l’ironie de l’histoire, de penser que j’étais toute seule à créer mon article de mon côté 😆

      Le soin de soi intrinsèquement lié au soin du monde <3

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  7. Chrystelle Henry

    Je suis heureuse que de plus en plus de personnes comme toi ( qui a à une époque payé très cher des coachings business) …ouvrent les yeux sur cette grande supercherie du coaching « high ticket » …je vois de plus en plus de ces coachs stars jeter l’éponge …et enfin se retourner sur leurs médiocres manipulations …tant mieux
    Et puis il y’a tous les autres qui continuent …et qui foutent la gerbe
    Ent tour cas ton article est super 👍 bravo

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    • Flora Douville

      Oui, j’ai effectivement payé des coachings très cher ! 😅 Certains ont été fructueux parce qu’il y avait de vraies compétences et du travail de fond derrière mais pour d’autres c’était vraiment de l’enfume pour se faire croire qu’on investit à bloc sur soi et qu’on fait un travail profond alors que ce n’était que du renforcement d’ego. Merci pour ton retour en tous cas !

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